Nature, rien de toi ne m’émeut, ni les champs
 Nourriciers, ni l’écho vermeil des pastorales

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Je ris de l’Art, je ris de l’Homme aussi, des chants,
Des vers, des temples grecs et des tours en spirales
Qu’étirent dans le ciel vide les cathédrales,
Et je vois du même œil les bons et les méchants.

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Je ne crois pas en Dieu, j’abjure et je renie
Toute pensée, et quant à la vieille ironie,
L’Amour, je voudrais bien qu’on ne m’en parlât plus.

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 Paul Verlaine: L'angoisse Poèmes saturniens 



La naturaleza muerta nos atrae tanto como la viva.
Las ramas torcidas y las rosas secas
que ocupan jarrones y cementerios 
y casas viejas.

Casas que eran nuestras.




2 comentarios:

  1. Me encanta Paul Verlaine y me siento especialmente identificado con algunos de sus versos ,D

    besos desde amrte.

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  2. Me esta encantando tu blog! Sigo por aqui ojeando.
    muacc

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